
de Anne-Marie Simon
Le bégaiement est une souffance, évitons qu'il ne gâte toute une vie !
Le bégaiement atteint 1 % de la population, soit environ 650 000 personnes en France. Il touche dans l’enfance 5 % des enfants : une fille pour trois garçons. Dans 3 cas sur 4, le bégaiement aura disparu à l’adolescence. Mais… attention ! Le bégaiement ne passera pas forcément tout seul !
Si l’on n’intervient pas précocement, 1 enfant sur 4 (mais aucun moyen de savoir lequel !) verra
son bégaiement devenir chronique (permanent). Or un changement des attitudes de l’entourage
vis à vis du trouble de la parole de l’enfant, et vis à vis de l’enfant lui-même – par exemple, des
modifications de sa vie quotidienne, ainsi que de la façon de communiquer avec lui – pourraient
suffire dans la plupart des cas à faire disparaître ou à réduire son trouble.
De l’enfance à l’adolescence, l’entourage familial et éducatif peut ainsi jouer un rôle décisif dans
l’évolution du bégaiement de l’enfant, et éviter qu’il devienne constitutif de son identité.
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ISBN : 9782353450640
128 pages
11 €